Originaire de la Caraïbe, inspiré par le jazz, influencé par le Funk.
« Caraïbe Jazz Funk », c’est ainsi que l’on peut résumer l’univers de Loïc Souriant.
Bassiste guadeloupéen, il est irrémédiablement attiré par la musique dans sa jeunesse.
Il écrit les premières pages de son épopée artistique à l’âge de 16 ans. Parallèlement à ses études en Martinique et en Guadeloupe, il commence l’apprentissage de la basse, un instrument rythmique et chaleureux dans une tonalité grave, véritable repère pour l’ensemble des musiciens d’un groupe; un instrument qu’il ne manquera pas de s’approprier sous l’influence de ses propres racines guadeloupéennes et caribéennes .

1980, de la Guadeloupe à Boston - L’artiste officialise le début de sa carrière de musicien professionnel en choisissant d’intégrer la prestigieuse école de musique américaine : Berklee College of Music, l’une des plus grandes écoles de musique privées des Etats-Unis dont la réputation n’est plus à faire à l’international. Ce lieu de brassage entre étudiants et professeurs américains mais aussi venus du monde entier a accentué son ouverture sur le monde en lui donnant cette vision de partage qui le caractérise à travers ses compositions. Ces années passées au sein de l’établissement en qualité d’interne ont permis à Loïc Souriant de maitriser la théorie et la pratique des arrangements, de l’harmonie moderne et du solfège. Il participera également à de nombreuses sessions d’enregistrement studio à Boston. C’est aussi l’occasion pour Loïc de s’imprégner de la fièvre musicale dont transpire la ville de Boston. Les nuits passées dans les bars, clubs et les salles de concert ont contribué à développer son style musical et à construire sa personnalité artistique durant toute sa carrière .
Marqué par cette époque, Il assiste entre autres au premier concert de reprise de Miles DAVIS après 7 ans d’arrêt, présenté par Herbie HANCOCK, dans un club, Le « Kicks ».

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1983, retour au pays natal - Loïc se consacre à lancer sa carrière professionnelle, il donne des concerts, il compose et souhaite à son tour transmettre, en donnant des cours de basse dans l’éducation nationale, au centre des arts et de la culture de Pointe-à-Pitre, au centre musical Philippe GROS à Capesterre, au centre culturel de SONIS. Il fera même partie du jury du Bac Technique de musique et de danse pour l’épreuve pratique en tant que bassiste professionnel.

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Bass Traveller, 

C’est en 2014 après de longues années de pratique de la scène, de partage avec des musiciens de tous horizons, de réflexion sur son parcours et son identité artistique que Loïc SOURIANT dévoile son tout premier album « Bass Traveller », à l’image de sa carrière emprunte de voyages aussi bien physiques que spirituels.

Bass Traveller, que l’on peut classer dans la catégorie Jazz avec des influences et rythmes caribéens et américains, est un album « invitation au voyage », dans lequel des musiciens de multiples horizons ont apportés leurs pattes et créativité, tel que Dominique BEROSE (Guadeloupe) pianiste de jazz caribéen, ou encore William CALHOUN (Etats-Unis) batteur du groupe international Living Colour.

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Full Moon,

En Février 2021, après s’être replongé dans l’exercice de la composition, Loïc SOURIANT sort Full Moon, son deuxième album parfois rebaptisé Full Moon Project, en effet, ce dernier est une nouvelle invitation à l’expérimentation, la fusion des univers Jazz et Caraïbes avec l’équilibre amené par le jazz, grâce à la participation de divers musiciens comme Sonny TROUPE, Grégory LOUIS, Carl BURNETT (guitariste new-yorkais qui a collaboré avec Bill WITHERS et Brandford MARSALIS). C’est aussi l’occasion pour Loïc se mettre en exergue des rythmes bien de chez lui comme le GwoKa avec le Tumblak (sur le morceau Tabou) ou encore le zouk (sur le morceau : Paradise) et bien sûr l’occasion de mettre en avant sa « signature » avec le morceau éponyme Full Moon qui laisse la part belle à la basse, son instrument de prédilection.

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En savoir plus ? (cf. Dossier de Presse téléchargeable ci-dessous)